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À ce moment-là,
j’étais assise sur le porte-bagages de son vieux vélo vert.
Il pédalait vite avec ses jambes longues. Je riais, m'accrochais plus fort.
L’air frais de la nuit m’emmitouflait toute entière, me tenait bien éveillée.
J’ai fait un cri de joie.
J’étais heureuse, j’étais libre, j’avais le sentiment de voler.
Le bonheur.
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1 commentaire:
joo precis. ;) hörru, du borde kanske ha en liten ordlista till vänster i bloggen så man hänger med vad som sägs.. :D
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